L’éternel

guegueette

La mort nous sauve la vie.

Loin de tes bras je suis entrée en perdition. Les événements nous ont séparés pour nous mettre à l'épreuve difficile de l'éloignement physique. Tu n'es pas là mais je te sens et te ressens, t'entends et te cherche dans les abysses. 

La grande faucheuse est apparue dans les abîmes. Les nuages dansaient entre eux pour me montrer le message, il semblait être la fin, mais il s'agit d'un renouveau. 

La sagesse m'appelle autant que la débauche aux moments sombres. Et les ombres me suivent et m'observent. Tu me manques, plusieurs fois tu as faillit disparaître de ton enveloppe corporelle, je ne le permet pas, j'aime ton charnel. Ta peau si douce et ton regard Terre me plongent dans des désirs et des envies sympathiques et permissives. En mes limbes je souhaites que tu te laisse aller, avec toutefois un contrôle maîtrisé. Ceci est un peu dingue, mais je te le dois bien. Je suis parfois un diablotin au féminin.  

Certains moments fûts d'une douceur incroyable, d'autre moins. C'est selon les Lunes. Mes dunes par tes mains caressées, un geste d'un amour jadis si délicatement expliqué. Veille sur nous mon amour, sur l'Univers et nos vers unis. Nous sommes plusieurs ne soyons pas démunis, à l'unisson nos forces et nos armées, et nous protégeons tout ce que nous devons garder. 

Taureau et Lynx seront réunis, la panthère protège de nos liens quand ils se défilent. L'araignée tisse sa toile et les relie, le serpent de son venin en est le gardien. 

Taureau appelle le félin par la pensée, le félin en est tout excité. La panthère  à répondue à l'appel, la Faucheuse s'en mêle dans l'affaire, le serpent enroule le plan du gang des vipères. 

Mon amour, tu sortira d'entre ces murs, mon amour, tu sortira de cet Enfer. Dans l'attente, le Lynx se secoue les pâtes, les ombres s'afférent, la Terre tremble et fait s'écarter les pierres, les vagues dépassent toutes les frontières. 

L'on remue parfois Ciel et Terre, rien n'arrêtera notre amour qui est éternel. 

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