Nuir diurne

Lotüs Zoppa'leïnh

Mes sens s'étirent, je vogue au loin sur mon étrange nuage et ce ne sont pas les drogues si les ondes se propagent.
Je ne pourrais plus rire; par séquences et par danses mes pensées délirent: attirée par le vide; je me relève, livide...

Partout au loin, je vois poindre le jour; je ne sais s'il boite moins mais il semble moins lourd. A pas de géant, l'enfant quittant sa diligence, rend un son immense doucissant la démence...

Point d'objectif, de but, et encore moins de fin, je veux voir le caillou que tu serres dans ta main; prospectif, il lutte et s'invente un parfum...
J'oublie tout; ton rêve féérique est le mien.

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