Recherches 33 - 03 avril 2013

Ismail Mohamed C.

Quoi que fut le jour le crépuscule ne change pas

Et dès l’aube il se met en route et de son lent pas

Chevauche la piste céleste de ses lueurs sanguines

Pour suivant l’aube qui le fuit depuis les origines

Comme l’acharné de l’éternel quotidien

Si bien qu’aujourd’hui ils ne comptent plus les méridiens

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