Si tu pleures ou je t'enfonce le coeur
charlotte-laquiche
C’était, le vertige est un mauvais tour quand le chaos se libère.
Humains vautours, impudents charognards
Je me repais à jamais des barreaux du silence
Des corps sans plus d’étés vivant de songeries
Privés de conscience et sans plus de morale.
Martyrs des enfantes et des feintes déchues
La loi dompte les rues au grès des rancœurs
Chaque fois qu’une vague absorbe mon présent
Je laisse libres les mains de ces gens d'opaline.
Dans ces remous vaseux l’homme est-il fou ?
Outrance à poubelle berceau de mon humanité
L’oppression trébuche et s’enlise sur le dos
Les carapaces se figent et se toisent à jamais.
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Je suis cette fille au nord
Celle que nul autre ne mord.
Pour pincer, ça pince, et bien là ou il faut et pouvu que ça pince encore de plus en plus fort.
· Il y a plus de 12 ans ·jb0
même colère
· Il y a presque 13 ans ·même incompréhension...
Juloin La Mort
Un remerciement qui m'envirgule et me pointifie. Je suis au bord de la parenthèse. C'est dire.
· Il y a presque 13 ans ·saint-james
J'aime, quand mes phrases contournées vous pincent les yeux. Et le verbe. Et le mot. Surtout le mot.Merci.
· Il y a presque 13 ans ·charlotte-laquiche
Belle musicalité. De chatoyantes voyelles ouvertes ricochant sur des consonnes fricatives, froissant au passage une voyelle fermée se repliant sur une consonne occlusive pour se protéger de l'écho rutilant d'une voyelle mi-ouverte dont la sonorité s'éteint sous le regard aveugle d'une consonne spirante.
· Il y a presque 13 ans ·saint-james
Me lire même pas ?
· Il y a presque 13 ans ·charlotte-laquiche
je suis ce mec à l'ouest qui ne reviendra pas.
· Il y a presque 13 ans ·saki